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Par ma-peggy le 16 Septembre 2010 à 00:00
Encore quelques photos de l'extérieur de ce beau château...
Et maintenant..entrons...ce sera la prochaine fois...
9 commentaires -
Par ma-peggy le 14 Septembre 2010 à 00:00
Petite note...
Un peu déçue la semaine dernière, en parcourant un blog ,
l'article signale que cette personne n'aime pas
notre capitale Bruxelles !
A chacun ses goûts et ses couleurs , je suis d'accord !
Mais je ne me suis jamais permise de critiquer l'un ou l'autre
endroit dans n'importe quel pays où je vais !
( Et pourtant , il y en a des villes , des endroits à critiquer )
Mais si c'est le cas je ne fais pas de photos , je vais voir ailleurs !
Je me tais et je ne publie rien !
Voilà c'était ma façon de penser !
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Un château pas loin de chez moi ..
Beloeil.
C'est une ville belge, située dans la province de hainaut .
La ville s'étend sur 61,5 km² et compte 13 446 habitants
depuis le dernier recensement de la population.
Son château .
Ces photos et les renseignements sont prises sur le net ...Aujourd'hui , je remercie un ami qui m'a prêté quelques unes de ses photos
de l'extérieur de ce château et son parc....
Le château est la propriété des Princes de Ligne depuis le XIV è siècle.
Il est entièrement meublé et contient une riche collection d'objets
d'art du XV è et XIV è siècle.
Le château qui était initialement une forteresse est entré dans
le patrimoine de la famille de Ligne par héritage des Condé le 6 avril 1394.
Le château est entouré par un parc d’une superficie de 25 hectares,
créé sur base de plans en 1664. Le domaine est accessible au public
et accueille chaque année plusieurs événements de prestige
comme des colloques, des conférences, des sons et lumières...Le chef actuel de la famille princière de Ligne est le prince Michel,
fils du prince Antoine de Ligne et de la princesse Alix de Luxembourg
(soeur du grand-duc Jean).
Il a épousé en 1981 la princesse Eleonore d’Orléans-Bragance,
fille du prince Pedro Henrique d’Orléans-Bragance
et de la princesse Marie de Bavière.
Le couple a deux enfants : Alix et Henri.
Et une petite dernière carte ancienne...
L'intérieur sera pour samedi..
16 commentaires -
Par ma-peggy le 10 Septembre 2010 à 00:00
Le domaine de Virelles
C'est avant tout un étang qui occupe la plus grande partie du site: quatre-vingts hectares d'eau libre qui en font l'un des plus grands plans d'eau « naturels » de Wallonie. Pas tout à fait naturel en réalité car il n'a pas toujours existé. Il y a bien longtemps, l'espace était occupé par une cuvette marécageuse traversée par quelques ruisseaux...
Les Celtes et les romains les premiers, attirés par les richesses minières de la région, y développèrent la métallurgie qui prit son plein essor aux XVème et XVIème siècles. Quel lien avec l'étang de Virelles? L'énergie, bien sûr, qui était nécessaire au fonctionnement des forges et au travail du fer. Cette énergie, l'eau la fournissait à l'époque: la force hydraulique, développée par une chute d'eau régulière, faisait tourner une roue à aube qui actionnait soufflets et marteaux. Voilà pourquoi les exploitants de la forge de Virelles construisirent en 1580 un barrage en travers du ruisseau Nicolas situé au nord de l'actuel étang, de manière à créer un réservoir d'eau (« le vivis de Virelles ») d'une cinquantaine d'hectares. Vers 1750, une deuxième forge s'installe sur l'Eau Blanche ce qui a entraîné l'augmentation de la superficie du plan d'eau aux quatre-vingts hectares actuels. C'est ainsi que l'étang de Virelles est né.
À la fin du XIXème siècle, l'activité des forges et des fourneaux est en déclin. En cause: l'épuisement des gisements, la surexploitation des forêts alimentant les forges en charbon de bois, l'apparition de la machine à vapeur, l'utilisation du coke... La retenue d'eau créée par les forgerons perd son utilité première mais acquiert progressivement de nouvelles vocations. Propriété des princes de Chimay, le site fut loué pour la chasse et la pêche. Les joncs et les saules bordant l'étang ont aussi fourni à une famille de vanniers les matériaux nécessaires au rempaillage des chaises et à la fabrication de paniers, de corbeilles et de nattes. Les roseaux trouvèrent aussi une utilité: fauchés par les habitants des villages avoisinants, ils procuraient des tiges vigoureuses utilisées pour la confection de toits, de huttes ou servaient de litière pour le bétail... Toutes ces activités anciennes, préindustrielles, artisanales ou agro-pastorales, ont contribué à façonner le paysage actuel de l'étang et à créer des habitats de choix pour plusieurs espèces d'animaux et de plantes remarquables.
Aujourd'hui, ces activités ont cessé et le produit de la fauche annuelle des roseaux reste sans utilisation. L'association cherche des valorisations possibles de cette matière abondante.L'avènement du tourisme de masse à partir des années quarante et jusqu'au début des années quatre-vingts fragilisa fortement les équilibres naturels du domaine de Virelles. Au fil des ans, des infrastructures d'accueil ont été construites, des plages pour la baignade ont vu le jour, le bord de l'étang a été bétonné pour faciliter l'accès au lac des barques, pédalos, voiliers et canots à moteur... Autant d'infrastructures, autant d'atteintes portées à la nature par les gestionnaires touristiques de l'époque. Le paroxysme fut atteint lorsque, dans les années septante, des herbicides furent déversés dans l'étang afin d'éradiquer la végétation qui entravait les activités nautiques. Résultat: disparition des plantes et des oiseaux, régression des roseaux et mortalité importante des poissons de l'étang.
En 1981, le site cherche un nouvel acquéreur. Divers projets de lotissements et d'aménagements touristiques voient le jour et menacent à nouveau l'étang qui, malgré les atteintes portées au milieu naturel par plusieurs dizaines d'années de tourisme à outrance, est toujours considéré comme une zone humide d'importance majeure en Wallonie. Trois associations de protection de la nature entrent alors en jeu: la Société d'études ornithologiques Aves, les Réserves naturelles et ornithologiques de Belgique (RNOB) et le Fonds mondial pour la nature (WWF) unissent leurs efforts pour louer le domaine. Le conseil de gestion du site naturel de l'étang de Virelles est ainsi constitué. Fortis (à l'époque Générale de Banque), sensible aux arguments des naturalistes accepte d'acheter en 1985 le site et de céder sa gestion aux trois associations par un bail emphytéotique de nonante-neuf ans. Épilogue heureux d'un parcours semé d'embûches...
Et un diapo.
Mais je n'avais pas encore on zoom ,
alors ,je retournerai !.
Qu’est-ce …un "Aquascope" ?
C’est un centre nature, fait de verre et de bois, construit sur les berges d’un étang.
Tout y est mis en œuvre pour nous assurer un accueil chaleureux et nous emmener à la découverte d’une nature riche et préservée.
Ici, pas d’animaux en captivité, pas de sensationnalisme, pas d’artifices.
Nous y découvrirons la vraie nature, telle qu’elle est, à faire un pas vers elle et non l’inverse.
..
Un projet de taille
Depuis le 2 avril 2004, le site s’est doté d'un projet de taille: celui de l'Aquascope. Ce projet a compris l'ouverture d'un Centre d'Interprétation de la Nature mais également la restauration des berges de l'étang. Aménagées pour les activités touristiques de l'époque, les berges de béton se révélaient fort peu accueillantes pour la faune et la flore de la réserve. Un remodelage complet en berges naturelles accentuant 'l'effet de lisière' (lagunes, îlots, berges abruptes) a apporté une croissance rapide de la variété d'espèces observées. Un pas en avant par un retour vers le passé en quelque sorte...
L'Aquascope est un pari ambitieux: allier tourisme et protection de l'environnement. Il s'agit de garder l'affectation touristique du site mais de réduire son impact sur le milieu et de la mettre au profit de la sensibilisation.
Aujourd'hui, les services de conservation et de sensibilisation unissent leurs efforts pour contribuer tant que faire se peut à la préservation de l'environnement au sens large.
Voilà où se trouve Chimay et Le Lac ...
Petit message pour un de mes amis qui a le moral à zéro ,
Allez lui rendre une petite visite afin qu'il ai le soutien de nous tous !
C'est < ici >
Merci pour lui !
4 commentaires -
Par ma-peggy le 9 Septembre 2010 à 00:00
La ville de Chimay abrite
Madame La Princesse Elisabeth Manset de Chimay.
d'où ces armoiries de la famille...
Aujourd'hui , un car nous dépose sur la Place ou un < Petit Déjeuner >
nous attend dans un café proche en attendant l'ouverture du Château.
Chimay
(en wallon Chimai) est une ville francophone de Belgique située en région wallonne dans la province de Hainaut . C'est aussi le berceau des Princes de Chimay
Plus au sud, la clairière a été agrandie à l'époque monastique, vers les terres plus pauvres de la retombée nord du plateau de Roccroi; Ces terres étaient surtout dévolues à l'élevage et à des cultures pauvres, comme le seigle. Aux XVIIIe et XIXe siècles, des fermes créées par des entrepreneurs individuels ont poursuivi ces défrichements, encouragées par l'État.
Située dans l'arrondissement administratif de Thuin, elle est née de la fusion de 14 anciennes communes le 1er janvier 1977.
La ville abrite le château des princes de Chimay où demeure la Princesse Elisabeth de Chimay ,
la collégiale Saints Pierre et Paul , le lac de Virelles , d'un grand intérêt ornithologique.
L'abbaye Notre-Dame de Scourmont (à Forges )où des moines cisterciens trappistes fabriquent de la bière et des fromages .
La bière de Chimay , rouge, bleue ou triple est obtenue par un procédé defermentation haute (à plus de20°C) et subit une seconde fermentation en bouteille. Elle n'est pas pasteurisée.
Chimay est jumelée avec Conflans-Sainte-Honorine(France) qui se situe au confluent de l'Oise rivière dont la source se trouve à Chimay.
L' Eau blanche qui traverse la ville prend sa source dans un étang situé à cheval sur les territoires de
Chimay et de la ville voisine de MomigniesLA COLLEGIALE SAINTS PIERRE ET PAUL
Non loin du château des Princes où flotte encore le souvenir de Madame Tallien, mieux connue sous le nom de Notre-Dame de Thermidor, la collégiale des Saints Pierre et Paul confère à Chimay ses lettres de noblesse.
Le sanctuaire est un vaisseau tout de pierres bleues et d’ardoises. Il est à l’ancre sur les grès bruns d’une place publique belle comme un décor de théâtre avec son curieux monument princier, son hôtel de ville à façade du 18ème siècle, ses vieilles maisons bourgeoises et son portail d’honneur menant vers le parc castral. Une restauration intelligente et sobre vient de redonner à la collégiale toute sa splendeur primitive. Les longs et coûteux travaux qui ont été effectués permettent ainsi d’en détailler les divers stades de construction
******************
Mais Chimay est aussi reconnu pour son
Circuit
Le circuit de Chimay n’est pas un circuit fermé : en effet, il est ouvert à la circulation en dehors des périodes de courses. Il fait une longueur d’environ 4Km520 et a été fréquenté par les plus grands pilotes étrangers dans les années 50 à 80.
75 ans déjà que le Circuit de Chimay vous fait vivre des moments inoubliables au rythme des courses de voitures et de motos.
C’est en 1926 que Jules Buisseret, un homme passionné de sports moteurs, eut l’idée d’organiser une journée de compétitions mécaniques aux portes de la ville de Chimay. C’est ainsi que naquit « Le Grand Prix des Frontières », semblable au départ à des dizaines d’autres épreuves en Europe mais qui allait bientôt se distinguer par une longévité qui en fit une des épreuves les plus vieilles de notre continent.
Ce succès était le fruit d’un concept original, à savoir, qu’il valait mieux constituer un plateau d’amateurs et de néophytes, pouvant offrir aux spectateurs une course animée, plutôt que d’attirer de grands noms qui auraient ruiné le club organisateur, sans que le déroulement de la course ne soit nécessairement meilleur. Chimay devint rapidement le second pôle d’attraction des sports mécaniques en Belgique après Francorchamps et draina de ce fait d’innombrables amateurs.
Dès le début, le Grand Prix des Frontières proposa des courses de motos le matin et une épreuve pour les voitures l’après-midi, pratique courante à l’époque qui permettait d’attirer en même temps les amateurs de motos et d’autos, qui constituent des publics assez distincts.
Dans les année 70, les autos ont quitté le Grand Prix car il devenait pratiquement impossible au fil du temps de faire rouler des voitures de course sur des circuits routiers, les impératifs de sécurité devenant de plus en plus stricts.
A l’heure actuelle, le Circuit de Chimay organise chaque année différentes compétitions autos et motos qui nous font tous vibrer au plus profond de nous-mêmes et qui ressuscitent pour un moment la magie d’antan.
Mais il ne faudrait pas oublier que l’un des ingrédients qui ont fait le succès du circuit est sans nul doute sa situation.
**Un bon maître a ce souci constant : enseigner à se passer de lui."**
André GIDE
5 commentaires -
Par ma-peggy le 8 Septembre 2010 à 00:00
A la demande , je remettrai en temps à autre
des articles parus chez < chalixanora >
sur mon petit pays ...
Aujourd'hui , le Château de ChimayBonjour !
Aujourd'hui , Madame la Princesse Elisabeth de Chimay
nous reçoit dans son château et nous raconte sa vie ...,
la vie de son château !
Elle écrit ses mémoires et c'est un plaisir d'écouter
cette Dame d'une telle simplicité que nous ne voyons
pas le temps passer à ses côtés et après la visite ,
elle adresse la parole à chacun d'entre nous !
Merci Princesse pour ce récit d'une grande partie de votre vie !
(c'est un plaisir pour elle d'être appelée de cette façon
en toute simplicité )
Mais elle mérite notre respect !
Le château
Le château est directement lié à l’historique
de la ville de Chimay.
Ce château fortifié est répertorié comme un des plus
beaux châteaux de Belgique.
Ce renom lui vient surtout de Monsieur Caraman et
de son envie de satisfaire les envies de son épouse Thérésa Cabarrus ;
amoureuse de la musique et du théâtre,
c’est pour elle qu’il a fait construire la salle de théâtre (très réputée).
Pendant la guerre 14-18, il sera le lieu de repos des soldats musiciens.
En 40-45, il est occupé par les soldats allemands puis américains ;
le château restera inoccupé jusqu’en 1947 ; quand le prince Elie projettera
de le restaurer et de lui rendre son cachet robuste et médiéval.
Les travaux sont finis en 1959 et pour marquer l’évènement,
il crée le festival de Chimay.
A sa mort, sa veuve ne peut poursuivre son œuvre et organise en 1985
la cérémonie d’adieux devant notamment
le Prince Albert et la Princesse Paola.
Le clou du spectacle sera « la symphonie des adieux .
Je monte la garde pour ma maîtresse..
Entrons et retrouvons Madame la Princesse
à l'intérieur du château.
Allons voir la chapelle du château..
Et maintenant , un petit coup d'oeil dans la salle du théâtre
J'ai eu beaucoup de respect pour Madame la < Princesse >
et je ne me suis pas permise de me promener dans ce château
comme j'aurais voulu le faire pour mettre en boîte
tout ce que je voyais malgré son accord !
J'ai préféré écouter son récit tellement passionnant
avec les mots de son coeur !
Merci à vous , Madame la Princesse de nous avoir conté
avec autant de simplicité et de sympathie l'histoire
de votre famille et de votre château !!
Petite note d'un journal....
Élisabeth de Chimay fait elle-même visiter le petit théâtre
du château où a été tourné le film «Le Maître de musique».Le théâtre du château de Chimay a servi de cadre au tournage
du film Le maître de musique.
Aujourd'hui, le château ouvre ses portes de 10 h à 17 h
L'accueil au château est assuré par la princesse Élisabeth
qui joue les guides avec passion.
Elle s'est beaucoup intéressée à l'histoire de sa famille
notamment à Madame Tallien mariée
à un prince de Chimay à qui elle a consacré un livre.
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Pour les amateurs de bonne bière ...
La bière de Chimay rouge, bleue ou triple est obtenue
par un procédé de fermentation haute (à plus de 20 °C )
et subit une seconde fermentation en bouteille.
Elle n'est pas pasteuriséeA votre santé et ...
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